Le pompier en uniforme
Sans uniforme, pas de pompiers ! Non seulement pour éteindre un feu, mais aussi dans le quotidien de la vie de caserne. L’habillement de combat, appelé un « bunker » dans le jargon du métier, est composé d’un manteau et d’un pantalon, fabriqués chacun en trois parties, incluant une enveloppe extérieure, un écran imperméable et un écran thermique. Il y a bien sûr le casque sur lequel figurent le nom du pompier et son matricule. Le casque est également muni d’un protège-cou et d’un protège-oreille, ainsi que d’une visière. Le pompier porte aussi des gants et des bottes imperméables, sans oublier l’appareil respiratoire qui pèse, à lui seul, plus de vingt-cinq livres. Au total, l’habillement peut facilement dépasser les cinquante livres et rajoutez-y un sept à dix livres supplémentaires si la combinaison est trempée.
Lorsque les pompiers ne sont pas occupés à éteindre un feu, ils portent chemise, pantalon et bottes de travail. Si à la caserne, il est parfois permis de travailler en manches courtes, les pompiers n’oublient jamais de porter la chemise et la cravate lors d’une procédure officielle en dehors de la caserne ; que ce soit pour une rencontre chez un citoyen ou une citoyenne ou pour une campagne de sensibilisation pour la prévention incendie dans les écoles, l’uniforme est au rendez-vous.
L’uniforme au quotidien (sous-titrage disponible en FR et EN) – Regardez la vidéo avec la transcription (FR).
À Saint-Eustache, l’uniforme révèle le grade. L’uniforme d’un lieutenant est orné de deux barres argentées sur ses épaulettes et celui d’un capitaine de trois barres de couleur or. Seul l’uniforme du directeur du Service est orné d’une étoile dorée.
Uniforme et uniformité (sous-titrage disponible en FR et EN) – Regardez la vidéo avec la transcription (FR).