La tâche ardue de défrichement

Dans ses premières notes, Anne décrit le travail ardu et remarque le manque de provisions. [Croquis au crayon d’Anne qui illustre le côté de la cheminée de la cabane de John] Par exemple, pour maintenir la chaleur dans la cabane nouvellement construite, deux arbres par jour, étaient trainés de la forêt par des bœufs. Souvent, pendant les jours les plus froids, [Croquis au crayon d’Anne de la famille blottie près du poêle, dans la cabane] la famille se blottit dans la cuisine à côté du poêle.

C’est mon réconfort quand malheureusement affamées de penser que la prochaine cette saison… [En regardant par la fenêtre les chutes de neige]  m’a toujours semblé être le pire : quand une fois il n’y a pas de possibilité d’avoir trop chaud, [Image de neige dans les cèdres] enfin il y a une chance d’avoir assez chaud.

Et aussi,

Je me suis parfois rappelée de mes premières années en compagnie avec des garçons seulement : peut-être vous penseriez que mes manières féminines seraient en danger si vous m’aviez vue diriger un bateau… ou manipuler les cordes en naviguant; [Croquis au crayon fait par Anne du côté cuisine de la pièce dans la cabane de John] mais ne vous inquiétez pas – ma vocation féminine servira toujours à les contrebalancer.