Réclames publicitaires
Compilé par la BC Black History Awareness Society à partir des Archives de la Ville de Victoria, du journal British Colonist et de la bibliothèque législative de la Colombie-Britannique
Ce dépliant « fictif » présente les annonces telles qu’elles ont été publiées dans le journal du jour.
Willis Bond, Encanteur et entrepreneur général
Paris Carter, Agent immobilier et collecteur de loyers et de dettes
Randal Caesar, Salon de coiffure. César était un partenaire commercial avec William Delaney Moses. Moses a déménagé à Barkerville dans les années 1860. Dans cette annonce (février 1866), César accueille des clients dans son entreprise de la rue Yates.
Edwards & Fox Warm Baths, Shaving and Hair Cutting, Shampooing (bains chauds, rasage et coupe de cheveux, shampoing Edwards & Fox). « Ils attirent particulièrement l’attention sur leurs salles de bains. »
Joshua Howard, avocat et conseiller juridique. « C’est en juillet 1858 que la première publicité légale paraît dans la colonie. Joshua Howard, un Afro-Américain de Virginie, offre ‘des conseils en droit aux plus démunis gratuitement’. Citation du « British Columbia 1858 – Law and Policing ». Document de référence 2007 de la bibliothèque législative de la Colombie-Britannique : 02.
Lester & Gibbs, Négociants en produits d’épicerie, approvisionnement, quincaillerie, bottes, chaussures et vêtements de mineur. En 1860, ces derniers annoncent aussi d’autres marchandises arrivant par bateau à vapeur, notamment des chandelles, de la farine, du bacon, du beurre, du café, du thé, des homards, des huîtres, de la sauce Worcestershire, des cornichons et du sirop.
Nathan Pointer, Importer and Dealer of Gent’s Clothing and Furnishings (importateur et marchand de vêtements et d’accessoires pour hommes), son stock comprend des cache-col en cachemire et des écharpes d’opéra.
Ringo’s Restaurant and catering (restaurant et traiteur Ringo); article de journal du 29 décembre 1860 : « Il a dressé une excellente table » à l’occasion du premier bal annuel maçonnique de la loge Victoria no° 1085. L’article mentionne : « La haute société présente y était importante et très respectable. Parmi les invités de marque figuraient Son Excellence le Gouverneur Douglas et le Très Vénérable Grand Maître du territoire de Washington, E. Garfield, Esq. L’habileté artistique dont il a fait preuve en ornant les tables chargées de toutes les délicatesses et de tous les luxes, est une preuve indéniable de sa capacité à offrir les conforts souhaités en de telles occasions. » En 1861, Samuel Ringo ouvre un hôtel équipé « de chambres privées, salons et chambres bien aérées ».