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Prologue

Nos histoires se déroulent à Orillia, en Ontario, une fière petite ville nichée entre les rives pittoresques des lacs Simcoe et Couchiching, surnommés les lacs jumeaux par les habitants du coin.

Vue du centre-ville d’Orillia surplombant des bâtiments historiques en brique rouge sur une rue bordée d’arbres. La surface du lac Couchiching apparaît au loin.

Vue en surplomb du centre-ville historique d’Orillia et du lac Couchiching lors d’une chaude journée d’automne.

 

Orillia, aussi appelée la ville ensoleillée, est marquée par des gens et un sens de la communauté extraordinaires. Certains de ses personnages se sont distingués non seulement dans la ville, mais aussi à travers le pays et dans le monde. Des membres de la communauté comme Stephen Leacock, Franklin Carmichael, Gordon Lightfoot, Arthur Shilling, Elizabeth Wyn Wood, et bien d’autres ont fait la renommée de la ville ensoleillée.

Aquarelle de Franklin Carmichael dépeignant une scène automnale dans le nord de l’Ontario. Une cabane en rondins et une grange sont entourées d’arbres, avec un lac et des montagnes à l’arrière-plan.

En 1925, l’artiste originaire d’Orillia Franklin Carmichael a peint cette vibrante aquarelle intitulée Old Barns, Miners Bay (Vieilles granges, Miners Bay) le long des montagnes La Cloche, dans le nord de l’Ontario.

 

Mais cette exposition ne porte pas sur ses citoyens les plus illustres, dont l’histoire a été racontée sous toutes ses facettes. Elle explore plutôt les récits des membres de la communauté orillienne d’aujourd’hui, des gens qui n’ont pas de reconnaissance nationale mais qui n’en sont pas moins remarquables.

Vous ferez la connaissance de dix-huit personnes qui ont accepté de partager leur vécu par amour pour la ville où ils ont grandi ou ont élu domicile, même temporairement. Ces chroniques ne représentent qu’une infime partie des milliers de souvenirs indélébiles que chaque Orillien porte en lui ou en elle.

Alors que vous parcourez cette exposition, demandez-vous : quelle est mon histoire?

Coupure jaunie du journal Packet & Times datant de 1967 où la mairesse de l’époque décrit l’emplacement d’une capsule historique créée pour les Orilliens de l’an 2067.

Une coupure de journal de 1967 indique l’emplacement d’une capsule historique récemment créée pour les Orilliens du futur.