Nathalie Rivard – La Police provinciale de l’Ontario
– Tu es policière pour la PPO. Raconte-nous comment tu as rejoint la PPO et ton expérience de gardienne de but dans une équipe de hockey féminin. Est-ce que ça t’a aidé à t’intégrer à la PPO, qui était très masculine à l’époque?
– J’ai rejoint la PPO en 1995. À l’époque, je jouais encore à un rang assez élevé dans le hockey sur glace féminin. La PPO a aussi des équipes de hockey. Alors je me suis rapidement infiltrée dans les différentes équipes de hockey féminin et masculin du service. Ça m’a certainement aidée à développer des amitiés et des relations professionnelles, et à rejoindre la famille de la PPO de façon très positive. Aujourd’hui, quand je regarde mon expérience sportive par rapport à mon expérience de travail, je vois beaucoup de similarités, parce qu’il y a des coéquipiers dans les deux cas, et des situations, autant dans l’environnement de travail que dans l’environnement du jeu, où on compte sur le concept d’une équipe. Beaucoup des principes sont les mêmes. Les compétences sont transférables.