Raquel Ness – La philanthropie
– Tu as mentionné que tu es une philanthrope dévouée. Peux-tu nous parler des projets dans lesquels tu es impliquée?
– Bien sûr. Quand je suis revenue vivre à Orillia, je savais que je voulais tout de suite me remettre au travail, alors j’ai commencé à faire du bénévolat au Centre d’appui aux enfants, et j’ai fait mon chemin jusqu’à la présidence du conseil. Je suis très impliquée dans la Chambre de commerce, qui bien sûr soutient la communauté des affaires, mais déploie aussi beaucoup d’efforts pour créer des entreprises à Orillia, stimuler l’économie et inciter les gens à acheter localement, ce qui est incroyablement important. Qui plus est, mon amie Amber McGarvey m’a approchée il y a un peu plus d’un an, et on a lancé une section de Ripple of Kindness à Orillia. Ça nous donne l’occasion d’avoir une incidence importante sur d’autres organismes de bienfaisance sous forme de dons. D’ailleurs, notre premier anniversaire approche bientôt, et on va le célébrer ce soir.
– Ripple of Kindness soutient quels genres d’organismes?
– Ripple of Kindness est très intéressant, parce que c’est un modèle différent. En gros, on n’est que des femmes. On se rassemble, puis les membres peuvent nominer différents organismes de bienfaisance. Alors ça peut être n’importe quel organisme pourvu que l’argent reste dans la ville. C’est le plus important. On a fait quelques dons à Hospice, et plus récemment au refuge pour femmes Green Haven. Alors pendant cette période au cours de l’année, on a deux occasions de nominer des organismes. Tout le monde vote, et l’organisme avec le plus de votes gagne. Donc ça peut être n’importe quel organisme. On en cherche toujours des nouveaux, et on les encourage à se manifester. Parce qu’ils pourraient alors recevoir 30, 40, 50 mille dollars, ce qui est une somme très importante.
– En effet. Mais ils doivent absolument être locaux?
– Ils doivent être locaux. C’est primordial.