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Apprendre une communauté – Griffen Horsley

Griffen Horsley naît près des rives des lacs Couchiching et Simcoe de deux parents fanatiques de bateaux, et passe le plus clair de son adolescence au Port d’Orillia et à la plage de Couchiching.

Carte postale d’environ 1960 montrant la plage Couchiching parsemée de gens assis sur les quais, en train de nager ou de se faire bronzer. À l’arrière-plan se trouve l’iconique Aqua Theatre d’Orillia.

Cette carte postale de la plage de Couchiching vers 1960 rappelle à Griffen l’enfance qu’il y a passée près de quarante ans plus tard.

 

Les petites villes font parfois fuir les gens, mais Griffen ne voyait aucun désavantage majeur à rester dans sa ville natale.

Qui est Griffen Horsley? (avec sous-titres français ou anglais). Visionner la vidéo avec transcription.

Sachant que Griffen aime l’art, sa mère le dirige vers le Musée d’art et d’histoire d’Orillia durant sa dernière année de secondaire, et il passe son été à s’impliquer dans la culture locale en tant que bénévole. Se sentir utile lui permet de développer son sens des responsabilités, et il prévoit maintenant de continuer à travailler dans les musées.

Étudier l’anthropologie a certainement changé la vision du monde de Griffen, et l’a fait prendre davantage conscience du rôle qu’Orillia a joué dans son développement personnel.

Griffen Horsley – L’université dans une petite ville (avec sous-titres français ou anglais). Visionner la vidéo avec transcription.

L’université Lakehead à Orillia est essentiellement une petite ville dans une petite ville, mais le plus grand avantage pour Griffen a été de pouvoir travailler étroitement avec ses professeurs. L’esprit de communauté lui a permis d’interagir directement avec des gens incroyablement intelligents et de tisser des liens avec des figures de mentors.

Griffen Horsley – Vivre à Orillia (avec sous-titres français ou anglais). Visionner la vidéo avec transcription.

Bien que Griffen compte partir et élargir ses horizons, il se voit rentrer dans sa charmante ville natale un jour, pour renouer avec les lacs et avec le sentiment de communauté que lui a apporté le quartier des arts.

Il y aura toujours un sentiment très fort et familier d’appartenance à Orillia.