Quand la nature nuit… à la nature (Louis Richer)
Réf. Musée du Haut-Richelieu
Le plus difficile, comme pour tous les Johannais qui ont vécu ça dans le fond, c’est quand t’entendais les craquements à droite et à gauche. T’entendais les bruits d’arbres qui brisent, les branches. C’était un petit peu apeurant, et dans le noir. Tu sais, tu t’en allais là, et tu es à peu près seul sur la route. T’as pas le droit à l’erreur. Mais, quand même, ça été une période exténuante, mais en quelque part, qui a été enrichissante. On a appris beaucoup de cette expérience-là.