« 34 chefs de famille rassemblent des fonds et unissent leurs efforts pour construire leurs maisons » – The Ottawa Journal, 10 novembre 1953
The Ottawa Journal gracieuseté des Archives de la Ville d’Ottawa
Avis de l’Institut d’action sociale, Ottawa Journal, 7 mars 1957 – Avec la permission des Archives de la Ville d’Ottawa
Article Cours du Collège St. Patrick Ottawa Journal 17 septembre 1953 – Avec la permission des Archives de la Ville d’Ottawa
Une levée de fonds entre les membres leur permet d’acheter un terrain. En revanche, il n’est pas facile d’amasser la mise de fonds nécessaire pour leurs hypothèques. Après plusieurs recherches, le comité des finances de la coopérative rencontre les responsables de la SCHL, qui finissent par accepter de considérer le travail physique comme un apport de compétences.
Même après le début des travaux, un comité des finances du gouvernement persiste à interroger la SCHL au sujet des coopératives. Le père Marrocco encourage Jim Moorman, un membre de la coopérative, à joindre sa voix à celle de la SCHL et à profiter d’une réunion à la Chambre des communes pour défendre le groupe de coopérateurs, dont les études, la préparation et la détermination prouvent la capacité à fournir un apport de compétences. En 1957, de nouvelles lois permettant de considérer le travail manuel comme apport de compétences remplacent le Housing Act de 1944.
Pour en savoir plus sur la SCHL et la Société coopérative de construction résidentielle Marrocco, consultez les liens au sujet de Gerald Clarke, Brian Hogan et Rita Marrocco, fournis sur la page de références.