Des maisons et des voisins
Avec l’aimable autorisation de la famille Hill
Les premières réunions, en 1953, voient déjà naître un sentiment de communauté chez les coopérateurs. Toutes ces études, ce travail et cette collaboration leur mériteront, à terme, une maison bien bâtie, dans une communauté où il fera bon élever une famille. Après trois ans de dur labeur, la satisfaction d’avoir réalisé leur rêve et de posséder enfin leur maison est profonde et durable.
« Nous avions un poteau de téléphone juste à côté, ça nous permettait d’accrocher une corde à linge en hiver… Et entre les parcelles des trois voisins, il n’y a jamais eu de clôtures. »