Robert Wires réfléchit à l’avenir du tourisme sur la route dans le nord-ouest des Kawartha Lakes
Enregistré au Kirkfield Museum, 26 février, 2022
Intervieweur: Ian McKechnie
Vidéographie: Ekaterine Alexakis
Durée: 2:22
Robert Wires est assis devant un mur blanc. Le texte à l’écran: Robert Wires, contremaître d’entretien au Parc provincial Balsam Lake.
Robert Wires: Je pense qu’on verra la continuation des possibilités récréatives. [Um], nous avons vu une grande affluence de [um], gens qui avaient un chalet ici, qu’ils transforment en résidence permanente; ils vendent leur maison dans la ville et notre région est maintenant leur résidence à temps plein. [Euh], Internet est meilleur, ils n’ont pas toujours besoin d’être dans le bureau pour faire leur travail, donc on voit ça de plus en plus. On voit la vente ou la démolition de beaucoup de chalets traditionnels et ils construisent à leur place leur maison de rêve. En ce qui concerne les parcs…
[Photo en noir et blanc de terrains de camping sous des arbres feuillus, avec des tentes, roulottes, poubelles, tables de pique-nique et véhicules des années 1970.] Le texte à l’écran: le Parc provincial Balsam Lake, début des années 1970.
RW: …je pense qu’on va continuer à voir les véhicules récréatifs – ils sont commodes et il faut s’y ajuster. On se demande, « D’accord, est-ce qu’on devrait offrir des cabanes, donc? » Il y a beaucoup de gens maintenant qui n’ont jamais fait de camping. Donc on essaie d’offrir plus d’opportunités de louer quelque chose pour la journée. Maintenant ils pensent, « Peut-être qu’on devrait revenir pour plusieurs jours, mais on ne veut pas investir dans un véhicule récréatif et on ne veut pas acheter l’équipement de camping. » Beaucoup de parcs, y compris Balsam, ont été présélectionnés pour (euh) la construction d’hébergements. Je crois qu’on va voir davantage de ça. On voit aussi que de plus en plus de personnes louent notre équipement. Donc, les gens viennent et ils veulent louer un canoë, un vélo ou quelque chose de semblable, parce qu’ils viennent peut-être d’un immeuble en copropriété qui n’a pas d’entrepôt pour garder ces choses, mais ils veulent les utiliser. Un bon effet est qu’on ne peut pas tout entretenir, donc il faut avoir des installations périphériques pour offrir ces services. Au cours des dernières années, nous avons offert un programme spécial « apprendre-à-pêcher ». C’était surprenant, je crois…
[Photo en noir et blanc d’une plage et du lac, des gens sur le quai, des bateaux à moteur et du feuillage.] Le texte à l’écran: le Parc provincial Balsam Lake, début des années 1970.
RW: …parce que c’était initialement destiné aux plus jeunes, mais maintenant il y a des personnes qui n’ont jamais pêché avant qui viennent pour l’expérience et les personnes qui ont travaillé sur ça sont excellents. [Euh], les randonnées guidées sont populaires, des choses comme ça, on a eu beaucoup de personnes intéressées par les récits historiques dans le parc, ces genres de choses. Donc les gens veulent en apprendre plus sur les endroits qu’ils visitent.