Le commerce des fourrures
Chasseurs algonquins transportant des ballots de fourrures, dessin, 2017, Alexandre Pétrin.
Source : Domaine seigneurial Sainte-Anne
Le commerce avec les membres des Premières Nations est fréquent à l’époque et ces rencontres fournissent l’occasion d’échanger fourrure, viande, mais aussi de l’eau-de-vie, ce qui est alors jugé illégal par les autorités coloniales.