Un entretien vidéo avec Katrina Ramdath de Core Sales Inc.
Katrina Ramdath (interviewée), Jean-François Obregón (intervieweur)
Katrina Ramdath, de Core Sales Inc., explique ce qui fait de Scarborough et d’Agincourt des quartiers si attrayants pour les visiteurs du Grant Toronto, et qui en font des sites dignes d’intérêt pour le patrimoine culturel.
Katrina a été interviewée par Jean-François Obregón, étudiant chercheur de l’Université métropolitaine de Toronto dans le cadre du projet de studio du programme de maîtrise en planification et développement pour leur cliente, Brannavy Jeyasundaram, co-responsable et chercheur du Toronto Ward Museum. L’équipe de recherche a été supervisée par le Dr Zhixi Cecilia Zhuang, propriétaire de la chaîne YouTube DiverCity Lab qui héberge la vidéo.
Transcription complète
Au début des années 2000, c’était plutôt une affaire de famille, des gens du coin. Donc, s’ils se trouvaient dans une zone majoritairement peuplée, disons, du Sri Lankais, il y avait beaucoup d’endroits différents pour la vente de dosa.
Ils étaient donc très, très régionaux par rapport à ce qui les entourait. Personne, au début des années 2000 ou des années 90, venait visiter ces boutiques locales.
C’est plutôt, entre 2003 et 2005, jusqu’à la période pré-COVID, que les gens de Mississauga se rendaient à Agincourt, Scarborough pour visiter ces boutiques familiales.
Je pense que le caractère unique de leur cuisine, de leurs aliments traditionnels et l’ouverture d’esprit des gens à se rendre dans des zones spécifiques comme Agincourt ont commencé à décoller, juste avant la COVID.
Pour l’instant, les gens hésitent encore un peu, donc je ne suis pas certaine que cette tendance va se poursuivre.