Sur notre territoire, dans nos camps
Une fin de semaine ou même une journée dans la forêt peut recharger vos batteries. Mary V. Georgekish a hâte de passer la fin de semaine au camp familial :
Écoutez ici l’histoire de Mary avec transcription
Curtis Shanush est un élève du secondaire qui souhaite acquérir plus de connaissances sur le territoire. Il sort souvent en bateau ou en motoneige et dit :
Sur le territoire, je me sens libre et plus détendu. J’ai l’impression de sortir de beaucoup de bruit. Mon oncle Leonard m’a montré la terre, les rivières, les lacs où se trouvent les poissons, où il est sécuritaire d’aller, où chasser. Peut-être que je pourrai l’apprendre aux jeunes un jour.
Kimberly Matches est une jeune mère qui va souvent chasser avec son frère sur le territoire ou dans la baie. Elle nous en parle dans cet enregistrement :
Écoutez ici l’histoire de Kimberly avec transcription
Danny Tomatuk, cadre chez Tawich Development à Wemindji, sort chaque fois qu’il le peut :
Des fois, je monte simplement la route d’accès pour chasser le lagopède. Il faut environ 3 heures de route pour arriver à la zone de chasse de ma famille, alors je ne peux pas y aller souvent. Quand j’y vais, c’est pour me détendre et me sentir connecté à la terre. Ça me donne une raison d’être.