Meri Newton parle à propos de Cherry Tree Lodge
Caméraman : Ian McKechnie
L’éditeur de vidéos : Katerina Alexakis
Assise à la table de la salle de dîner ensoleillée de Cherry Tree Lodge, Meri Newton discute de son rôle comme intendante du chalet de W.A. Goodwin.
« Bonjour, je suis Meri Newton et je suis la propriétaire courante de Cherry Tree Lodge. Je suis arrivée à Cherry Tree Lodge (l’image d’un chalet apparaît à l’écran), bien, vraiment, aux lacs Kawartha, comme enfant. Mon frère avait un chalet sur le lac Cameron donc je me rappelle avoir visité la région durant mon enfance. Quand ma conjointe et moi avons commencé à parler chalets, les lacs Kawartha étaient en tête de liste. Nous avons regardé le chalet – j’en suis tombée amoureuse en ligne et quand j’ai franchi le seuil, je ne pouvais pas croire les émotions que je ressentais, à tel point que j’avais des larmes à l’oeil. Je peux détecter l’amour investi par Goodwin dans ces lieux, du moment où j’entre dans la maison jusqu’au moment où je me couche le soir. C’est un endroit magique, rempli d’amour, d’histoires, de famille, de rassemblements, de soirées, de moments tranquilles. C’est absolument magique pour moi.
Quand l’ancienne propriétaire Jane et moi ont eu notre première conversation, euh, nous nous entendions comme si nous nous connaissions pour toujours. Jane me contaient des histoires de son arrière-grand-père et de son immigration de l’Angleterre et on a parlé de l’immigration de ma conjointe, et nous avons eu de belles discussions sur l’activisme politique, ce que Goodwin faisait, la cartographie des lacs Kawartha, ses tableaux, ses soirées… Nous sommes connus maintenant ici au Point comme le lieu où, s’il semble que nous sommes chez nous, les gens viennent nous visiter pour prendre un verre de vin. Donc nous continuons la tradition d’un endroit ouvert et inclusif pour tout le monde et je pense que Goodwin serait très fier (un portrait de W.A. Goodwin apparaît à l’écran) que son héritage est intact, pas seulement grâce à ses enfants, mais aujourd’hui, grâce à Sherry et moi. »