Courageux sauveteurs
MÉDAILLE DE LA BRAVOURE
La Marine britannique a récompensé de cette médaille James McKinlay, chef mécanicien du SS Prospero lorsque ce bateau faisait tout pour porter secours aux survivants du désastre.
Parmi les courageux embarqués sur les navires de sauvetage se trouvaient :
SS Terra Nova SS Home
Matelot Harold Clouter Capitaine M. Day
Matelot Patrick Gallagher Matelot Edgar Button
Matelot Loil Hann Matelot Samuel Cooper
Matelot George Mercer Matelot Stephen Nash
Matelot John R. Moores Matelot Walter J. Nash
Matelot Aldolphus Morey Matelot Walter S. Reid
Matelot Timothy Murphy Matelot Michael Woodford
Matelot Charles W. Penney
Matelot Matthew Shanahan
Matelot George Westcott
SS Gordon C. SS Hawk
Capitaine E. C. Perry Capitaine Martin Dalton
Chef mécanicien Robert Pierson Matelot Daniel Ralph
Matelot Joseph Budden Matelot Michael Whelan
SS Terra Nova
Capitaine Eugene Burden
Capitaine William Windsor
Second capitaine James McKinlay
Premier lieutenant Joshua Warford
Maître d’équipage William L. Crocker
Steward Albert Starkes
Matelot Sidney Giles
Matelot Frank Walsh
Matelot M. Walsh
Chauffeur W. Ashman
Homme de petite chaudière W. O’Toole
LA MONTRE EN OR
Le capitaine Martin Dalton, commandant du SS Hawk, aida de nombreux survivants à sortir du Florizel. Mais lors d’un des trajets, le doris sur lequel il se trouvait se retourna et lui tomba dessus – cette mésaventure l’envoya à l’hôpital à son retour à St. John’s. Cette montre lui fut offerte pour le remercier de ses actes de sauvetage.
CAPITAINE NICHOLAS KENNEDY, SAUVETEUR
Le capitaine Nicholas Kennedy joue un rôle important dans le sauvetage des survivants du malheureux Florizel. Capitaine du SS Terra Nova, il aide à extraire les survivants du Florizel naufragé.
Le capitaine Nicholas Kennedy décrit ses tentatives de sauvetage dans l’édition du 24 mars 1918 du New York Sunday World : « Nous nous sommes retournés cinq fois mais le doris était insubmersible. Nous l’avons à chaque fois remis à l’endroit et continué notre chemin vers le bateau à vapeur échoué ».
Il souffre de problèmes de mobilité et d’une « paralysie rampante » pendant de nombreuses années après le naufrage. Il est obligé de prendre une retraite précoce dans sa carrière maritime et passe ses vingt dernières années paralysé et cloué au lit. Il meurt en 1942 à l’âge de 65 ans.