Les scieries
Collection de Mary (Edbom) Saunders
La scierie de Lumby dans la rue Whitevale en 1912. Sur la photographie : Bardoff, J. Bessette, C. Clancey, Frank Page, Nap Bessette, C. Warne, Pomeroy, C. LeBlanc, Stiller, Don Essery, Gray, C. Wheeler, J. Wheeler, Dubois, W. Gwynne, D. Hardy, Boyd et J. Durand.
Lumby était entourée de forêts sous-exploitées. Pendant des années, les scieries, dont des fabriques de bois d’œuvre et de traverses, des usines de tronçonnage et de délignage, des aires de stockage de poteaux et une fabrique de caisses, ont fourni du travail aux résidents de Lumby. Certaines de ces usines étaient importantes et employaient de nombreux ouvriers; d’autres étaient exploitées par un seul homme. Les usines n’étaient pas toutes en ville. Des camps furent édifiés dans les forêts et près des lacs où les hommes habitaient et travaillaient. Les scieries contribuèrent au développement du pays dans la mesure où il était nécessaire de construire des routes et des ponts pour transporter le bois.
En 1929, les hommes travaillaient dix heures par jour, six jours par semaine et leur paie était de 0,35 $ de l’heure.