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La ville s’implique

Tout au long des années 1980, plusieurs des représentants municipaux qui siègent aux différents comités sont favorables à la sauvegarde et la restauration du Manoir Fraser. La Société d’histoire et de généalogie s’étant retirée, un comité de la Ville de Rivière-du-Loup prend en charge le dossier.

Photo couleur. Maison de briques avec des volets devant les fenêtres.

Le manoir au début des années 1990.

 

Toujours encouragée par l’Héritage canadien du Québec, la Ville procède à différentes études pour trouver une vocation au manoir. Celles-ci démontrent d’une part qu’il est encore possible de le restaurer, qu’il est d’un grand potentiel culturel et touristique, et qu’il pourrait devenir un lieu idéal pour l’interprétation de l’histoire locale.

Article de journal dont le titre est Un autre contrat de 5000$ pour trouver une vocation au Manoir Fraser.

Article de journal paru vers 1991 portant sur un contrat accordé à M. Clermont Bourget urbaniste, dans le but de trouver une vocation au manoir.

 

Avec l’implication financière d’acteurs clés comme l’Héritage canadien du Québec et le Ministère de la Culture et des Communications, une partie du financement des travaux de restauration est assurée.

Photo couleur. Maison de briques avec des volets devant les fenêtres.

Gros plan sur les fenêtres du manoir, vers 1990.

 

Après plusieurs années de réflexion, la Ville est désormais prête à s’impliquer financièrement dans la restauration du manoir. Elle lance un appel aux organismes du milieu pour prendre en charge sa restauration et sa mise en valeur, ainsi que sa gestion une fois les travaux terminés. C’est en juin 1994 que la Société de sauvegarde du patrimoine du Grand-Portage, un organisme qui était inactif depuis une dizaine d’années, va prendre le projet en mains.