[Vidéo] Regards sur le domaine du Grantham Hall
[Photos d’archives défilant avec le titre de la vidéo Regards sur le domaine du Grantham Hall. Puis, dessin, en noir et blanc, d’un homme portant un uniforme militaire.]
Vers 1815, le lieutenant-colonel Frederick George Heriot, fondateur de Drummondville, érige sa demeure appelée Comfort Hall sur une vaste parcelle de terre aux abords de la magnifique rivière Saint-François.
[Dessin montrant une rivière à l’avant-plan et un village au loin.]
La résidence coloniale et le domaine sont cédés en 1842 à son cousin, le politicien Robert Nugent Watts.
[Portrait en couleurs d’un homme ayant une barbe grise et un complet. Puis, photographie en noir et blanc d’une grande demeure et d’une famille assise dans les marches de celle-ci.]
Aspirant à quelque chose de bien plus grand, Watts y fait rapidement construire un somptueux manoir qu’il nomme Grantham Hall.
[Photographie en noir et blanc de la demeure avec, à l’avant-plan, une calèche.]
L’imposante demeure est entourée d’un paysage enchanteur composé de jardins, de boisés et de dépendances.
[Photographie en noir et blanc d’un salon.]
La famille y reçoit d’ailleurs de nombreuses personnalités bien en vue à l’époque.
Les Watts vendent le domaine en 1908 au notaire montréalais Herbert Meredith Marler qui l’embellit pour en faire sa résidence d’été.
[Portrait en noir et blanc d’un homme ayant une moustache et portant une toge de finissant. Puis, Photographie en noir et blanc de la demeure avec, à l’avant-plan, une grande fontaine.]
Pour divertir ses invités, il y fait aménager rien de moins qu’un parcours de golf de neuf trous!
[Vue aérienne du domaine converti en terrain de golf où on peut apercevoir les ruines de la maison.]
Le Grantham Hall est malheureusement la proie des flammes en 1922 et est ensuite laissé à l’abandon…
Des hommes d’affaires achètent le terrain et y fondent le Drummondville Golf and Country Club en 1924.
[Photographie en noir et blanc de quatre hommes jouant au golf.]
Depuis, le parcours de golf n’a cessé d’être amélioré, tant en beauté qu’en qualité : une volonté poursuivie, pour le plus grand bonheur de tous, par l’entreprise Soprema, aujourd’hui propriétaire.
[Page de crédits où apparaît le logo de la Société d’histoire de Drummond et ceux des différents partenaires : Soprema, MRC de Drummond et Ville de Drummondville. Il est également inscrit le nom du recherchiste et du rédacteur, Gabriel Cormier, le nom de la narratrice, Julie Miller, et le nom de l’entreprise ayant fait la conception vidéo, Synaptik Média inc..]