L’éducation patrimoniale par l’implication bénévole de Lise Tremblay
Michaël Gravel et Corporation du Moulin Légaré
Lise Tremblay : Quand j’étais présidente du comité de loisir du Bel Âge, j’ai eu à stimuler un peu le groupe, l’équipe, parce que y’étaient pas vraiment conscients de l’importance du festival. Alors, moi, j’leur ai signifié que pour le moulin, le festival, c’était un moment privilégié pour donner de la visibilité au site. Pis j’ai dit : « Pour la Corporation, c’est aussi un atout parce que y’ont pas à se préoccuper de ce volet-là ». Vraiment, le volet de la galette, on s’en occupe puis on le fait bien. Pis ensuite, j’ai toujours aussi beaucoup utilisé les produits du moulin, la farine, dans ma vie quotidienne, pis j’en ai fait la promotion. Et pis, quand j’enseignais, à partir du moment où les circuits ont été organisés, moi, avec mon groupe d’élèves de troisième année, j’me faisais un devoir de venir faire le tour des monuments historiques, pis le moulin Légaré était très important à travers tout ce circuit-là. Pis ça faisait partie de notre programme scolaire aussi. Puis, une dernière chose, c’est qu’à un moment donné, j’suis allée à TVA faire de la galette dans le cadre de l’émission Deux filles le matin. Alors ça, c’était pour faire de la publicité pour le moulin. Pis à chaque instant où les gens me parlent, ben j’leur parle… pis quand on a des gens qui viennent nous visiter, on aime ça leur faire voir le moulin Légaré. Je pense que c’est important. C’est vraiment un site dans la ville qui mérite d’être gardé.