Une résidence tirée par trois bulldozers, à l’intersection de la rue Royale et de l’avenue Fournière
Date : 1942
Crédits : Société d’histoire de Malartic, fonds Laurent Chartier
Les squatters, dont l’habitation est suffisamment solide pour supporter le déplacement, doivent la lever, la consolider et y installer des patins de bois fournis par le gouvernement. Celui-ci offre gratuitement un tracteur pour le déménagement. Les squatters doivent avoir acheté un lot à Malartic et le préparer à recevoir la maison : fondations, nivellement, et ainsi de suite.